Bonjour les mamans,
Je me permets d'ouvrir un poste parce que j'ai pas mal d'interrogations concernant l'allaitement de mon -grand -bébé de 19 mois. Aujourd'hui mon fils a entre trois et quatre tétées par jour, et quelques fois la nuit mais il a tendance à dormir de mieux en mieux. Les tétées de journée (matin, sieste, vers 18h) ne me dérangent pas du tout, mais j'ai de plus en plus de mal avec la tétée d'endormissement si elle se met à durer. En fait, au bout d'un certain temps, la tétée me devient presque insupportable et il faut absolument que je l'arrête. Parfois mon fils ne le prend pas trop mal, il se retourne, vient se coller à moi autrement et s'endort, ou s'endort à côté de moi. Mais parfois il est triste, se met à pleurer, réclame le néné jusqu'à hurler. Le papa prend de plus en plus le relais sur les endormissements après une petite séance de téter avec moi, ça se passe bien mais il n'est pas systématiquement là au coucher à cause de son travail.
Je m'interroge sur ce ressenti très fort, ce n'est pas mon fils sur le coup que je rejette mais vraiment je ne supporte plus la sensation, alors que les long tétouillages quand il était plus petit ne me dérangeaient pas du tout. On parle de sevrage naturel à partir de deux ans et demi, à l'initiative de l'enfant et parfois aussi de la maman, est-ce que ce sentiment en serait les prémices de mon côté ? Mais mon fils est encore petit et je sens qu'il a encore besoin de téter même s'il est un petit garçon avide d'indépendance.
Est-ce que certaines d'entre vous ont instauré un raccourcissement des tétées pour des raisons proches ? Est-ce que cela peut bien se passer avec un petit de 19 mois ?
J'ai des sentiments très mitigés quand je pense au sevrage, qui arrivera bien un jour - naturel ou pas. Jusque là je n'ai pas vraiment d'idée sur la question mais j'ai le sentiment d'arriver à un début de nouvelle étape car pour la première fois l'allaitement me provoque des sentiments désagréables (en dehors bien sûr des multiples douleurs qu'il y a pu avoir
) mais aussi qu'il grandit si vite, je me demande comment sera notre relation sans ce lien qui a été si fort...
Je me permets d'ouvrir un poste parce que j'ai pas mal d'interrogations concernant l'allaitement de mon -grand -bébé de 19 mois. Aujourd'hui mon fils a entre trois et quatre tétées par jour, et quelques fois la nuit mais il a tendance à dormir de mieux en mieux. Les tétées de journée (matin, sieste, vers 18h) ne me dérangent pas du tout, mais j'ai de plus en plus de mal avec la tétée d'endormissement si elle se met à durer. En fait, au bout d'un certain temps, la tétée me devient presque insupportable et il faut absolument que je l'arrête. Parfois mon fils ne le prend pas trop mal, il se retourne, vient se coller à moi autrement et s'endort, ou s'endort à côté de moi. Mais parfois il est triste, se met à pleurer, réclame le néné jusqu'à hurler. Le papa prend de plus en plus le relais sur les endormissements après une petite séance de téter avec moi, ça se passe bien mais il n'est pas systématiquement là au coucher à cause de son travail.
Je m'interroge sur ce ressenti très fort, ce n'est pas mon fils sur le coup que je rejette mais vraiment je ne supporte plus la sensation, alors que les long tétouillages quand il était plus petit ne me dérangeaient pas du tout. On parle de sevrage naturel à partir de deux ans et demi, à l'initiative de l'enfant et parfois aussi de la maman, est-ce que ce sentiment en serait les prémices de mon côté ? Mais mon fils est encore petit et je sens qu'il a encore besoin de téter même s'il est un petit garçon avide d'indépendance.
Est-ce que certaines d'entre vous ont instauré un raccourcissement des tétées pour des raisons proches ? Est-ce que cela peut bien se passer avec un petit de 19 mois ?
J'ai des sentiments très mitigés quand je pense au sevrage, qui arrivera bien un jour - naturel ou pas. Jusque là je n'ai pas vraiment d'idée sur la question mais j'ai le sentiment d'arriver à un début de nouvelle étape car pour la première fois l'allaitement me provoque des sentiments désagréables (en dehors bien sûr des multiples douleurs qu'il y a pu avoir
